Côte d’Ivoire : Complicité présumée dans la déstabilisation du Burkina Faso ?
Face aux campagnes de diffamation dirigées depuis la Côte d’Ivoire contre le Burkina Faso, les dignes fils du Faso ont décidé de réagir fermement pour dénoncer ces manœuvres malveillantes. Parmi eux, le patriote Ibrahima Maïga, connu pour son franc-parler et son engagement en faveur de la défense de son pays, s’est particulièrement illustré dans la dénonciation des complots visant à déstabiliser le Burkina.
Ses récentes déclarations, empreintes de vérité et de patriotisme, semblent avoir dérangé les anciens opposants burkinabè en exil en Côte d’Ivoire. À travers de faux comptes sur les réseaux sociaux, ces derniers multiplient les tentatives pour alimenter la division et semer le trouble au Burkina Faso.
Une campagne de dénigrement à grande échelle est désormais orchestrée contre M. Ibrahima Maïga, sous la houlette de forces extérieures puissantes, dont la main visible de la France et de ses relais locaux.
Ce climat hostile suscite une question légitime : les autorités ivoiriennes, sous la présidence d’Alassane Ouattara, seraient-elles complices de ces actions en collaborant tacitement avec les exilés burkinabè dans leur entreprise de déstabilisation ? Le silence persistant des autorités ivoiriennes face à ces agissements troublants alimente les doutes au sein de la communauté africaine.
Les voix s’élèvent désormais pour appeler à des actions claires et décisives. Les leaders d’opinion et observateurs panafricanistes exhortent les autorités ivoiriennes à prendre des mesures fermes contre ces manipulations et à garantir que leur territoire ne devienne pas une plateforme pour des campagnes de division et de haine.
L’Afrique d’aujourd’hui n’a plus besoin de divisions, mais de solidarité et d’unité pour affronter les défis communs. En ces temps critiques, l’entente entre nations africaines demeure un pilier essentiel pour résister aux forces extérieures et bâtir un avenir plus stable et prospère pour le continent.
David Zountchégnon