Afrique : La lutte inébranlable de l’AES face aux forces de déstabilisation
Le mois de décembre s’annonce sous un ciel lourd de manœuvres géopolitiques, alors que les conspirateurs, tapis dans l’ombre, redoublent d’efforts pour fragiliser les nations du Sahel. Les forces de déstabilisation cherchent à semer la discorde et à faire chuter des pays qui refusent de se soumettre à leurs intérêts néocoloniaux.
Dans ce contexte de tension, un appel urgent à la mobilisation et à la solidarité résonne dans les couloirs de l’Alliance des États du Sahel, une organisation qui regroupe le Mali, le Burkina Faso et le Niger. Ces pays, unis par une vision commune de souveraineté et de sécurité, se retrouvent aujourd’hui dans le viseur de puissances extérieures, notamment de la France, qui cherche à préserver son influence dans la région.
L’AES, fermement décidée à protéger ses acquis et à défendre sa souveraineté, incarne un rempart face aux tentatives d’ingérence. Au cœur de cette lutte se trouve le Burkina Faso, avec à sa tête le Capitaine Ibrahim Traoré, qui incarne la résistance et la détermination des peuples du Sahel à ne pas céder aux pressions extérieures.
Le défi est de taille, mais l’unité des pays membres de l’AES est leur plus grande force. Ensemble, ils forment un front solidaire, déterminé à défendre leurs terres, leurs cultures et leurs aspirations. Dans ce contexte, l’heure est à la résistance et à l’unité. Les conspirateurs qui cherchent à diviser ces nations en quête de leur indépendance devront faire face à une détermination sans faille.
Le mois de décembre, loin d’être celui de la chute, marque ainsi le commencement d’une nouvelle phase dans la lutte pour la souveraineté, où la solidarité et l’unité entre les pays du Sahel seront plus que jamais les piliers de leur résilience face aux forces de déstabilisation.
Samson Akobi