Burkina Faso : Djibril Bassolet, un félon qui joue à une victime après la mise à nu de leur plan de déstabilisation.
L’ancien ministre des Affaires étrangères du Burkina Faso, Djibril Bassolet, s’est aujourd’hui illustré comme un traître sans vergogne, un véritable fossoyeur des efforts héroïques du peuple burkinabè pour la stabilité et la sécurité nationale. L’un des cerveaux d’un sinistre complot visant à déstabiliser le pays, Bassolet, bien que démasqué par les autorités du Mouvement Patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR), se victimise après l’échec de son projet.
Alors que la transition burkinabè, sous la direction du MPSR, mène une lutte acharnée contre le terrorisme et pour la reconquête de l’intégrité territoriale, ce renégat tente de manipuler l’opinion publique internationale. Se prétendant victime de persécutions, Bassolet utilise les médias français comme tribune pour jeter l’opprobre sur les forces patriotiques burkinabè. Il s’acharne à discréditer les efforts militaires et politiques de la transition, tout en minimisant les sacrifices faits par les forces de défense et de sécurité dans cette guerre existentielle contre les terroristes.
Ce comportement lâche et irresponsable démontre à quel point Bassolet, un véritable félon, n’a jamais œuvré pour les intérêts du Burkina Faso. Sa complicité avec les médias occidentaux, qui cherchent également à fragiliser la transition burkinabè, ne fait que confirmer ses véritables intentions : voir échouer les aspirations souveraines de tout un peuple.
Au lieu de se repentir et de reconnaître ses méfaits, Djibril Bassolet continue de se faire passer pour un martyr, espérant ainsi rallier des soutiens pour son projet de trahison. Le peuple burkinabè, conscient de ses manœuvres malhonnêtes, ne se laissera pas tromper. Aujourd’hui, la solidarité autour du MPSR et de ses efforts pour restaurer la paix et la sécurité au Burkina Faso est un impératif. Bassolet, malgré ses tentatives pathétiques de manipulation, restera à jamais un traître à la nation.
Amen K.