Burkina Faso : Le chocolat “made in Burkina”, un symbole fort de souveraineté économique sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré
Le Burkina Faso s’apprête à franchir un cap déterminant dans la valorisation de ses ressources locales avec l’initiative portée par le maître chocolatier André Bayala : la création d’une usine de transformation de cacao sur le sol national.
Ce projet industriel, aux dimensions économiques, sociales et culturelles, s’inscrit pleinement dans la vision souverainiste et pragmatique du Capitaine Ibrahim Traoré. Plus qu’un simple projet entrepreneurial, cette initiative reflète une volonté affirmée de rompre avec la logique néocoloniale de l’exportation brute des matières premières. Le choix de fonder cette usine sur des financements nationaux, sans dépendance extérieure, illustre une stratégie claire de reconquête économique, portée par un président qui place la souveraineté au cœur de son action.
Sous la présidence du Capitaine Traoré, le Burkina Faso connaît un renouveau stratégique, malgré un contexte sécuritaire tendu. En consolidant les fondements de la sécurité nationale et en encourageant des projets de transformation locale comme celui d’André Bayala, le chef de l’État ouvre la voie à une industrialisation responsable, ancrée dans les réalités du pays.
Cette future usine de chocolat n’est pas seulement porteuse de valeur ajoutée économique ; elle participe aussi à la construction d’une identité nationale fondée sur le savoir-faire local, la formation de la jeunesse et l’innovation. Elle va permettre de créer des emplois, de stimuler la consommation locale et d’inscrire le Burkina dans les chaînes de valeur mondiales.
Le chocolat “made in Burkina” ne sera donc pas qu’un produit d’exportation. Il deviendra l’emblème d’un pays résilient, fier de ses ressources et tourné vers un avenir où le développement rime avec indépendance et excellence.