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Burkina Faso : Vers le retrait de l’État « Burkinabè » du statut de Rome de la CPI.

Ils sont des milliers à répondre à l’appel ce vendredi 7 juin 2024 pour exprimer leur désapprobation devant les bureaux de la représentation des Nations Unies suite au rapport tordu publié par Human Rights Watch, épaulé cyniquement par l’ONU.

Il s’agit d’un rapport incriminant les FDS et les VDP de commettre les actes d’exactions sur la population civile. Ce qui est impensable aux yeux du peuple Burkinabè au regard de la dévotion dont les FDS et VDP ont fait dans la lutte contre le terrorisme.

Alors, si Human Rights Watch peut se permettre une telle légèreté avec la bénédiction des Nations Unies, donc le pire est devant. C’est justement pour faire blocage au pire que les Burkinabè ont sorti massivement pour exprimer devant les locaux des Nations Unies leur ras-le-bol face à une telle indignation.

Il s’agit aussi, lors de ce sit-in, de la demande du retrait de l’État Burkinabè de la CPI, étant donné que les Nations Unies, Human Rights Watch et la CPI sont tous les oiseaux du même plumage.

Les puissances occidentales qui sont derrières le terrorisme au Sahel, sont convaincues de la fin imminente de leur crime au Burkina Faso, alors pour démobiliser les FDS et les VDP, elles cherchent à leur coller une étiquette déshonorant pour ternir ce travail noble qu’ils abattent nuit et jour pour le bien de la population Burkinabè.

Ceux qui pensent toujours que, la Cour Pénale International est un outil d’intimidation que l’Occident a mis en place et brandit à l’endroit des dirigeants africains lorsque certains ne voulaient plus faire leur désidérata, ont raison. Beaucoup de personnalités africaines font l’objet de mandats d’arrêts internationaux, tout juste parce que ce “machin de Human Rights Watch” a  l’outrecuidance de mentionner leur nom dans ses rapports sponsorisés peut-être par l’Elysée ou Washington, juste pour régler un compte.

Aucune d’une nation digne de ce nom ne peut jouir de sa pleine souveraineté en ayant l’ombre de la CPI derrière soi, juste, car certains en ont décidé. Alors si le peuple Burkinabé décide de se retirer de ce traité bidon, c’est de bonne guerre.

Amen K.

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