Togo : 10 ans d’inclusion financière, le FNFI est une véritable coalition contre la pauvreté mise en place par le Chef de l’Etat Faure Gnassingbé
Cette initiative présidentielle lancée pour palier l’exclusion des acteurs du secteur informel des systèmes financiers bancaires classiques, le Fonds national de la finance inclusive (FNFI) a fait du chemin et a été un véritable succès. Il y a dix (10) années, le Chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé a donné le feu vert pour la promotion de l’inclusion financière dans le pays. Cette vision audacieuse du président togolais qui s’est matérialisée au fil des années, a changé la vie de plus de 1,8 millions de togolais à majorité des femmes et des jeunes.
En une décennie, le gouvernement togolais et ses partenaires ont mobilisé 109 milliards de FCFA au profit des micro petites et moyennes entreprises issues de toutes les couches socioéconomiques du pays. A travers des services financiers comme le FAIEJ (Fonds d’appui aux initiatives économiques des jeunes), AGRISEF pour le secteur agricole, AJSEF (Accès des jeunes aux services financiers), APSEF, PAF, PAIFFV, PAS-AGRISEF, PAS-APSEF, PNPER, PS, KIFFE, NKODEDE, les couches défavorisées, jeunes agriculteurs, promoteurs de microprojets ont eu accès à des crédits financiers pour lancer leurs activités.
Le FNFI, cette vision financière inclusive du Chef de l’Etat Faure Gnassingbé, a transformé la vie des togolais. Le FNFI, que ce soit pour régler les difficultés liées à la scolarité des enfants, à la santé ou aux besoins quotidiens, a donné de l’espoir aux populations à faible taux de revenus, surtout dans les milieux défavorisés.
Après dix années d’existence, le gouvernement veut passer à la vitesse supérieure. D’abord en maintenant le cap et l’incidence auprès des populations. Ensuite, Faure et son équipe prévoient la digitalisation et le renforcement des mesures incitatives et un mécanisme de facilitation entre les banques et les services financiers décentralisés, pour un meilleur maillage des localités à faible taux d’accès des services financiers.
Et à l’horizon 2025, l’Etat togolais ambitionne d’atteindre 255.000 togolais supplémentaires.
Alfreda Latevi