Burkina-Faso: Il n’est pas opportun de tenir des discours non constructifs dans le pays
Libérer le Burkina-Faso de l’emprise terroriste est la préoccupation qui a conduit le Capitaine Ibrahim Traoré au pouvoir en 2022. Et depuis lors, il s’est attelé à accomplir cette mission (reconquête du territoire, retour de la paix et de la sécurité, développement économique, souveraineté nationale, lutte anti-impérialiste etc.) que certains cherchent à saboter pour leurs intérêts personnels.
Pourquoi certains citoyens burkinabè membres de la société civile, veulent suivre les pas des médias français pour minimiser les résultats engrangés par la transition ? Ne sont-ils pas conscients du changement de la situation dans le pays depuis l’avènement au pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré ?
La sagesse populaire recommande de ne pas s’attarder sur des sujets qui peuvent détruire que de construire. Tout citoyen devait le savoir et soutenir les acquis et initiatives du gouvernement de transition.
Après moult tentatives de déstabilisation et sans succès, les quelques burkinabè (société civile) qui ne jurent que par leurs intérêts, jettent du discrédit sur la gouvernance mise en place par la transition. Ces organisations de la société civile sont membres de la CGT-B, la centrale syndicale initiatrice du mouvement populaire du 31 octobre qui, a été suspendu. Ces OSC ont encore profité de la commémoration de la journée des martyrs ce 31 octobre pour sortir leur venin.
Que ces ennemis du Faso cessent de jouer avec le destin et l’avenir du vrai peuple burkinabè, conscient des efforts de l’équipe Traoré pour un Burkina prospère. Ils doivent savoir que l’heure est à la mobilisation pour soutenir les acquis de ce gouvernement. En agissant ainsi, ils contribuent à l’enracinement de la paix dans le pays et combattent le bon combat.
Maï Sani
