POLITIQUE

Burkina-Faso : Le dialogue serait un signe de capitulation devant la France, vive la résistance! (le peuple)

Pourquoi offrir une tribune d’expression à un fugitif au lendemain de l’attaque de Koumbri, alors que plus d’un mois, le gouvernement a réussi à écarter les menaces terroristes au Burkina-Faso ? Pourquoi négocier si les opérations stratégiques menées par les forces de défense sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré, président du Burkina-Faso ont permis de rétablir la paix ?

Autant d’interrogations posées par le peuple qui voit en cette interview de l’ancien ministre des affaires étrangères Djibril Bassolé, une trahison. Pour les burkinabè, l’attaque de Koumbri, dans laquelle plus d’une cinquantaine de soldats et volontaires pour la défense de la Patrie ont trouvé la mort et qui a fait plusieurs blessés, et l’interview du ministre seraient liées.

C’est le genre de propagande que dénonce également le Chef de l’Etat en revenant sur la fermeture de certaines radios. Aussi, cette proposition de « négocier avec les terroristes » aurait-elle été faite à un membre du nouveau gouvernement de transition ? Ou la France aurait encore ravitaillé ces groupes armés comme toujours, pour semer le chaos, au regard de l’échec de ses nombreux plans de déstabilisation du Burkina-Faso ?

Aucune piste ne devrait être écartée. D’après les burkinabè, seule la résistance peut tenir en échec les djihadistes. Et le peuple qui a montré sa résilience doit être plus fort et uni derrière le président et l’armée qui ne ménagent aucun effort pour la stabilité du pays.

Pas de négociation avec les terroristes. Ce serait un signe de capitulation devant la France qui parraine les djihadistes . Le « tout militaire » a fait ses preuves. La guerre contre les djihadistes devra continuer et être plus intense car la détermination, l’engagement et le dévouement de tout un peuple peuvent écarter toutes sortes de menaces.

Bah Traoré

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *