Burkina-Faso: Tribune de l’ONU, quand le discours de Bassolma Bazié fait l’unanimité des burkinabè
Le Burkina-Faso, pays du Capitaine Ibrahim Traoré a été largement et bien représenté à la tribune des Nations Unies à New York, lors de la 78ème session de l’Assemblée générale par le ministre de la fonction publique et du travail, Bassolma Bazié. Sans langue de bois, le ministre burkinabè a dénoncé les agissements des occidentaux surtout de la France sous le regard passif et complice des organisations internationales. Selon lui, l’ONU, l’Union Africaine et la CEDEAO « doivent se muer en organisations véritables des peuples et non des chefs d’Etats ».
Dénonciation des actions impérialistes en Afrique, manque d’assistance à des pays en situation de difficulté, affirmation de la souveraineté du Burkina-Faso ont été les moments forts du discours du ministre burkinabè devant la tribune des Nations Unies.
Cette intervention du ministre du gouvernement de transition a reçu un écho favorable auprès des burkinabè. Pour le peuple résilient face à toute adversité, ce discours est un pas vers la souveraineté du Faso voulue par le gouvernement de transition présidée par le Capitaine Ibrahim Traoré.
Cette politique est très soutenue et défendue par le peuple burkinabè, en témoignent les diverses réactions sur les réseaux sociaux et dans les villes du pays. A Ouagadougou, ce discours du ministre a suscité fierté et clameur. Pour le peuple, cette intervention montre clairement la vision des nouvelles autorités : repousser le terrorisme hors des frontières du Burkina, assurer le développement endogène du pays et surtout, s’affranchir du joug impérialiste. Ce dernier point est en passe d’être gagné grâce au dévouement du Capitaine Traoré.
